• Plus de trois mois ont passés. Trop d'entremêlements risquent de nuire à l'intrigue. Votre équilibriste tente, ici, un point de repère.
    Il était une fois1 quatre individus forts prétentieux de leur petite personne, fortuitement rassemblés. Les présentations développées, ils s'affirmaient : artiste2, photographes et universitaire. Ravagés du désir de communication, ils commencèrent à se regarder, à se mesurer, à s'analyser. De cette découverte haptique, avec l'intermedium de deux appareils photographiques, un "dire" prit forme. Celui-ci articulé sous l'aspect d'un livre fut porté à la connaissance de certains. Ces certains, souvent nommés "eux", étaient entrés dans le métier d'éditeurs comme d'autre prennent le chemin de la foi ; aride chemin que celui de l'édition française3. C'est aux bons soins de quelques "eux" que le "dire" devient "dit d'artiste(s)". Affublés de cette valeur de "dit", moins désirée que le besoin de diffuser leur "dire" à la conscience de beaucoup, ils devinrent comparses. Ils portent sur le chemin des douze coups d'un univers impitoyable, une première strate identitaire : artiste de l'art contemporain, modèle, poète et théoricien de l'art4.
     

    1 - C'est d'usage pour faire de la fable webigraphique. (Selon JR dont la référence m'échappe)
    2 - Paul-Armand Gette a établit une version de l'histoire |=====> ici <=====|
    3 - Vous pouvez consulter la saga de l'état éditoriale français
    (à droite) dans "vers ailleurs" au lien "État éditorial : livres-hebdo".
    4 - tout court.


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